Ambassadrice de la poésie québécoise, (Suisse, 1996 ; République tchèque, 1998 ; France, Rhône-Alpes; 2000/2005), La Rochelle 2008 ; Bénin , 2009 et 2010 ; Sénégal, 2010 ; Algérie, 2011 ; Cameroun, 2012 ) elle offre de nombreuses lectures, des conférences et des ateliers de création. Fréquemment sollicitée par des invitations à l’international et traduite dans plusieurs langues, Claudine Bertrand constitue une figure marquante de la poésie contemporaine.
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Prix européen de la Traduction en Poésie
PRIX HORACE
Horace (en latin Quintus Horatius Flaccus), né à Venosa dans le sud de l'Italie le 8 décembre 65 av. J.-C. et mort àTivoli le 27 novembre 8 av. J.-C., compte parmi les plus illustres poètes de tous les temps. Mais son œuvre, à double niveau d’écriture, fait aisément l’objet de malentendus et de contresens, comme en témoigne par exemple le détournement de la fameuse devise Carpe diem, ou de la non moins célèbre formule Aurea mediocritas (« juste milieu précieux comme l'or »), tirées respectivement des Odes, I, 11 et II, 10.
"Avoir plu aux puissants n'est pas le plus haut mérite"
"Les peintres et les poètes ont toujours eu le droit de tout oser"
"Il en est tout un juste milieu..."Prix HORACE 2014
Timour Mudihine
Ecrivain et traducteur, Timour Muhidine est né en 1959 à Koweït City. Études à Lille puis à Paris où il réside actuellement. Écrivain et traducteur, il enseigne la littérature turque contemporaine à l’Inalco (Paris) et dirige la collection “ Lettres turques” chez Actes Sud.
Il a publié, entre autres : Un Cœur double (roman), Éditions Hors Commerce, 1999. Du Nord cru, L’Esprit des Péninsules, 2003. L’ Errance de Ziya Bey Ottomanes, Editions Bleu Autour, 2005. Sous le soleil de Bernanos, Itinéraire en Artois avec Tahsin Yücel, Empreinte/Temps présent, 2010.On ne l’a jamais appelé « l’Oriental », mais plutôt « min loute » ! Il revendique des racines nordistes et cultive avec brio sa spécialité : traduire les écrivains majeurs de la littérature turque du xxe siècle. Rimbaud, Verlaine, la Première Guerre mondiale sont les figures de proue de son panthéon personnel, des balises aussi dans son œuvre littéraire ! « Je suis vraiment atypique » sourit Timour Muhidine. Toujours prêt à défendre dans les hautes sphères de la culture parisienne, Nedim Gürsel ou Jules Mousseron. Atypique et tellement symbolique. Ah si tous les gars du monde ressemblaient à Timour Muhidine… Mélangeant avec bonheur les couleurs, les émotions, le Nord et le Sud. Parlant tout simplement la langue des influences multiples, du fond du cœur.
« Je n’ai pas conscience d’avoir souffert du racisme » affirme Timour. Si son nom, son prénom faisaient parfois « l’objet de supputations, de moqueries», il les acceptait « avec le sentiment de supériorité de celui qui a déjà beaucoup bourlingué ». Celui que l’écrivain Claude Duneton a baptisé le « Turc du Nord » après l’avoir côtoyé lors des rencontres européennes du livre à Sarajevo, est né en 1959 à Koweït City… Père turc, mais « né à Alep en Syrie » et mère française, artésienne ! En 1962, la mort du père (il était traducteur) ramène la famille à Achicourt, naguère décrit comme le jardin d’Arras. « Il y avait encore du crottin de cheval dans les rues. Achicourt, c’était le bout du monde », se souvient Timour. Enfance heureuse, bercée par les récits de l’arrière-grand-mère originaire de Givenchy-en-Gohelle. « Elle me racontait la guerre 14 dans le lit, elle me parlait en patois. » Enfance heureuse dans une belle demeure où la bibliothèque débordait de livres arabes, de traités sur le pétrole. Collège et lycée à Arras ; cité parcourue dans tous les sens, où il se demandait parfois « s’il y avait des Turcs ou des Arabes derrière les façades ». Licence d’anglais – langue que sa maman enseignait - à l’université de Lille. Puis un déclic, une impulsion, à vingt ans : l’envie d’apprendre la langue des grands-parents paternels. Un « petit luxe », une gageure aussi car Timour Muhidine le répète à ses étudiants (parfois « désespérés») de l’Institut national des langues orientales où il professe depuis trois ans, « il n’est pas facile d’apprendre le turc, une langue réformée quatre fois depuis 1911, avant tout pour éliminer les mots arabes et persans ». Timour a persévéré, décroché une bourse d’une année en Turquie. Tombant sur la littérature turque. Instantanément amoureux. « Je suis parti de zéro. » Un parcours du combattant pour défendre la cause de dizaines d’auteurs, poètes que ch’l’éfant d’Achicourt a, dès le milieu des années quatre-vingt, traduit en français. « C’était une mine d’or, tout était à faire » confie-t-il. Vingt ans pour se bâtir une réputation de « passeur », celui vers qui l’on se tourne pour évoquer Nazim Hikmet, Nedim Gürsel (il vint au lycée d’Arras et vit désormais en France), Saït Faïk… « Je suis carrément devenu l’agent littéraire en France de bon nombre d’auteurs turcs ! »
de gauche à droite : notre Conseillère de Los Angeles ; notre lauréat Timour Mudihine ; JF Dussottier, président
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Prix européen de photographie
Charles Ciccione
(Prix créé en 2012)
Ce Prix européen récompense un photographe dont l'oeuvre est reconnue en Europe
et qui présente pour ce Prix un livre d'artiste de photographies de grande qualité.
Prix européen de photographie
Charles Ciccione 2014
Pierre-Yves Ginet
(http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre-Yves_Ginet)
Pierre-Yves Ginet est photojournaliste. Avant, il était analyste financier. Mais ça, c’était avant. Avant le Tibet. « Je devais y passer quinze jours, j’y ai consacré trois ans de ma vie. Je suis parti en touriste, je suis revenu en journaliste ». C’était il y a quinze ans. La moitié des manifestations organisées pour le Tibet libre l’étaient par des religieuses bouddhistes, des nonnes tibétaines. Et pourtant, ce proverbe tibétain est bien ancré dans les mœurs : « Si tu veux un maître, fais de ton fils un moine ; si tu veux une servante, fais de ta fille une nonne. » Pierre-Yves a ressenti le besoin de témoigner et a embrassé la cause des femmes. Des Femmes avec un grand F, car c’est pour toutes les femmes qu’il milite à présent. Sans jamais avoir été prédisposé au militantisme, encore moins au féminisme. Depuis quinze ans, il sillonne le globe pour raconter et témoigner de destins de « Femmes en résistance », le titre de son exposition (et désormais d’un magazine). Il est armé d’un appareil photo pour la force des images, et d’un stylo pour le poids des mots. Ses légendes éclairent ses photos. Chaque série de photos raconte une histoire.
Ouvrages
- Femmes en résistance, préface de Taslima Nasreen,
- Femmes kurdes de Turquie, Clara Magazine, 2004
- Tibet, un peuple en sursis, Actes Sud, 2000
- Tibet en exil, mythes et réalités, Golias, 2000
- Ladakh, lumières tibétaines, Points de Suspension, 1999
de gauche à droite : JF Dussottier, président ; le lauréat Pïerre-Yves Ginet ; Michel Ciccione, fils de Charles Ciccione ;
Michel Bénard, Conseiller d'art
- Femmes en résistance, préface de Taslima Nasreen,
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Prix de la biographie en poésieou d'une anthologie en poésie
PÉTRARQUE
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Francesco di ser Petracco, dit Pétrarque.
Un des plus grands poètes italiens."Dans l'Italie savante et cléricale du XIVe siècle, Pétrarque est à l'avant-garde de l'esprit humaniste renaissant. Très tôt initié aux textes classiques de Cicéron et d'Ovide, sa culture cléricale a su très tôt s'ouvrir aux grandes idées philosophiques. L'oeuvre de Pétrarque retentit de ces différents échos. Des ouvrages en latin tels que Africa (1338-1342), Secretum meum (1342-1358), De vita solitaria (1346-1356) et De otio religiosorum ont certes contribué à la célébrité de l'humaniste, mais sa postérité, Pétrarque la doit à son Canzoniere (Rerum vulgarium fragmenta). Le recueil, qui va marquer l'histoire du lyrisme pour très longtemps, emprunte à des modèles littéraires et idéologiques relevant d'époques et de cultures différentes. La poétique de l'amour chez Pétrarque s'enrichit tout autant de l'héritage platonicien que de la tradition chrétienne. Le syncrétisme est rehaussé par l'emprunt à la conception de l'amour courtois que les troubadours de France ont découvert chez les poètes de l'Andalousie mauresque au Moyen Age.Dans son ensemble, l'oeuvre de Pétrarque représente dans toute sa splendeur une dimension importante du Quattrocento. Par la tradition qu'elle intègre comme par ses apports spécifiques, elle est, à l'aube des Temps modernes, le creuset de l'interculturel. Aujourd'hui que le troisième millénaire prône l'ouverture des frontières et le brassage des civilisations, de tels impératifs ne peuvent que servir la mémoire de Pétrarque et attester son actualité dans le contexte d'une Méditerranée carrefour des cultures et des civilisations."PRIX PÉTRARQUE 2014
Jean Portante
( http://www.jeanportante.lu)
Son enfance, qu’il relate dans son roman Mrs Haroy ou la mémoire de la baleine, a été marquée par cette double appartenance, ou plutôt par une double non-appartenance, puisque comme chaque voyageur, il s’est senti très tôt comme un citoyen de terre de personne. À l’instar de la baleine, ce mammifère ayant décidé d’émigrer dans l’eau des océans, il sait qu’il n’appartient ni à la terre quittée ni à celle rejointe.
Toute son œuvre, riche d’une trentaine de titres, en est imprégnée. Une œuvre écrite en français. Car la langue participe du déracinement. Or, le français est, pour Jean Portante, une langue à l’extérieur de son binôme Italie-Luxembourg, une langue apprise, apprivoisée, mais qui sans cesse reste à conquérir. Jean Portante dit à son sujet que c’est une « étrange langue » (c’est le titre d’un de ses recueils, couronné en France par le Prix Mallarmé), dans la mesure où elle reflète la petite Babel de la maison familiale de son enfance où l’on parlait à la fois italien et luxembourgeois, mais aussi le français. Dans l’entrelacs linguistique du Luxembourg, où les enfants sont alphabétisés en allemand, cela ne peut déboucher, dans l’écriture, que sur cette « étrange langue », ou « langue baleine » : c’est-à-dire une langue qui a l’aspect du français (comme la baleine ressemble à un poisson), mais à l’intérieur de laquelle respirent (comme le poumon de la baleine) la langue italienne et les autres idiomes du territoire. L’écriture de Jean Portante devient ainsi un incessant voyage d’une langue à l’autre, ce qui permet, dans sa poésie surtout, de « néologiser », donc d’« étrangéiser » la langue française. Jean Portante parle aussi d’« effaçonner » (autre titre d’un de ses recueils). Il s’agirait alors, tout en façonnant l’écriture, de l’effacer, afin que surgisse la véritable langue. L’œuvre poétique de Jean Portante est un lent « effaçonnement », alors que dans ses romans il mêle histoire, autobiographie et fiction, pour démêler les pièges de la mémoire, de l’identité, de l’enracinement, des migrations, thèmes centraux de ses livres.
Jean Portante est venu à l’âge de 33 ans à l’écriture. Avant, il a étudié en France, à Nancy, et était tour à tour agitateur dans la foulée de mai 68 et professeur de français. En 1983, alors qu’il écrit son premier recueil de poèmes, Feu et boue, il s’installe à Paris. De longs séjours en Amérique latine l’ont familiarisé avec la langue espagnole et, parallèlement à son travail d’écriture, Jean Portante développe depuis plus de vingt ans une activité de traducteur (notamment de Juan Gelman), mais aussi de Gonzalo Rojas et de dizaines de voix poétiques de langue espagnole, allemande, anglaise ou luxembourgeoise. Ses propres livres sont largement traduits, et parmi les traducteurs récents de ses poèmes en anglais sont les poètes Pierre Joris et Zoë Skoulding.
Actuellement, il dirige au Luxembourg la collection Graphiti (poésie) des éditions PHI et collabore à l’hebdomadaire Le Jeudi. En France, il est membre de l'Académie Mallarmé et du jury du Prix Apollinaire. En 2003, il a reçu le Grand Prix d’automne de la Société des gens de lettres, pour l’ensemble de son œuvre, ainsi que le Prix Mallarmé. Auparavant, son roman Mrs Haroy ou la mémoire de la baleine qui sera porté à l’écran en 2010, lui avait valu, au Luxembourg, le prix Servais (meilleur livre de l’année, tous genres confondus).
Au Luxembourg, il a fondé en 2009 la revue littéraire TRANSKRIT, consacrée à la traduction de la littérature contemporaine. En France, il est à l’origine, avec Jacques Darras et Jean-Yves Reuzeau de la revue INUITS DANS LA JUNGLE, dont le premier numéro est paru en juin 2008.
Distinctions
- Prix Rutebeuf de la poésie, 1986 pour Horizon, vertige et Italie intercalaire
- Prix Tony Bourg, 1993 pour Ouvert Fermé (ex aequo avec Jean Sorrente)
- Prix Servais, 1994 pour Mrs Haroy ou La mémoire de la baleine
- Prix de poésie Louis Montalte de la Société des gens de lettres, 2003 (pour l'ensemble de son œuvre)
- Prix Mallarmé, 2003 pour L'étrange langue
- Prix Batty Weber, 2011 pour (pour l'ensemble de son œuvre)
Œuvres (sélection)
- Feu et boue, Paris : Éditions Caractères. 1983.
- L'instant des nœuds (Poèmes), Paris : Éditions Saint-Germain-des-Prés. 1984.
- Méandres, Paris : Éditions du Guichet. 1985.
- Horizon, vertige & Italie intercalaire, Paris : Éditions Arcam. 1986.
- Projets pour un naufrage prémédité Récit, Echternach : Éd. Phi. 1987.
- Un deux cha cha cha. Roman, Echternach : Éd. Phi. 1990.
- Ex-odes (Poèmes cubains 1987-1990), Echternach : Éd. Phi. 1991.
- Mrs Haroy ou La mémoire de la baleine. Chronique d'une immigration, Echternach : Éd. Phi. 1993.Réédité en 1999. Aussi traduit en allemand, italien et roumain
- Ouvert fermé. Poèmes, Echternach : Éd. Phi. 1994.
- Le mariage de Pythagore Luxembourg : Teatro vivace. 1995.
- Effaçonner. Poèmes. Echternach : Éd. Phi. 1996.
- Destin destination. Une tragédie, Echternach : Éd. Phi. 1998.
- Point. Poèmes, Echternach : Éd. Phi. 1999.
- Anthologie luxembourgeoise. Poésie, Echternach : Phi ; Trois-Rivières : Les écrits des forges. 1999.
- Allen Ginsberg. L'autre Amérique Préface de Anne Waldmann, Bordeaux : Le Castor astral. 1999.
- La pluie comme un œil Moudon : Éd. Empreintes. 2001.
- Autour de la table Paris : Le Taillis Pré. 2002.
- L'étrange langue. Poèmes Châtelineau : Le Taillis Pré. 2002.
- Mourir partout sauf à Differdange. Roman, Esch-sur-Alzette : Éd. Phi. 2003 Aussi traduit en roumain.
- L'arbre de la disparition. Poèmes, Avec des dessins de Marek Szczesny et une préface de Lionel Ray, Esch-sur-Alzette : Éd. Phi ; Trois-Rivières : Les écrits des forges. 2004.
- La cendre des mots : L'origine est passée par là. Poèmes 1989-2005 Trois-Rivières : Écrits des Forges ; Bordeaux : Le Castor Astral. 2005.
- Le travail du poumon Bordeaux : Le Castor Astral. 2007.
- Ailleurs - Épisode I : Charleville-Mézières 2008 : une année en poésie, poésie (collectif), éd. Musée Rimbaud, Charleville-Mézières, 2009
- La réinvention de l'oubli Bordeaux : Le Castor Astral. 2010.
- Hexaméron. Dernier Jour suivi de Orphée au pays des mortels Differdange : Éditions Phi, 2011.
de gauche à droite : JF Dussottier, président ; le lauréat Jean Portante ; Angels Santa Baneres, Conseillère d'Espagne
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Prix de la revue ou édition"Il est grand temps de rallumer les étoiles.." Guillaume Appolinaire*
Le prix européen "Cassiopée" récompensant une revue internationale de langue française,
dans le cadre de la Francophonie si chère à Léopold Sédar Senghor.
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Prix CASSIOPÉE 2014
revue sénégalaise ÉTHIOPIQUES de Dakardirecteur : M. A. Raphaël NDIAYE (Dakar)
Monsieur A. Raphaël NDIAYE
Directeur Général de la
Fondation Léopold Sédar Senghor
Rue Alpha Hachamiyou Tall x René Ndiaye
BP : 2035 Dakar - Sénégal
Tél : fixe (221) 33 849 14 14
Mobile : (221) 77 652 91 50
Fax : (221) 33 822 19 14
mél : al.raphaelndiaye@gmail.com
Expert-Formateur de l'UNESCO
en patrimoine culturel immatérielNé à Fadiouth, au Sénégal, Raphaël Ndiaye a fait des études supérieures en philosophie, bibliothéconomie et ethnolinguistique. Conservateur de la section « lettres » à la bibliothèque de Dakar, il sera par la suite Directeur des Archives Culturelles du Sénégal, puis directeur des bibliothèques publiques au Ministère de la Culture, avant de prendre en charge, à Enda Tiers Monde, la coordination des activités de communication. Homme de radio par ailleurs, il anime une émission hebdomadaire de promotion du livre et de la lecture tout en poursuivant une activité d’auteur – compositeur et interprète d’œuvres musicales. Il a publié plusieurs articles et travaux de recherche, ainsi qu’un recueil de poèmes.
de gauche à droite :
JF Dussottier, président ; Rome Deguergue, Conseillère ; Henri Senghor, président d'Honneur ; Michel Bénard, Conseiller d'Art
Fondation Léopold Sédar Senghor
Dakar
Rapport de remise du Prix Cassiopée
Le mercredi 16 juin 2014, a eu lieu la remise du Prix Cassiopée, décerné à la revue Ethiopiques par le Cénacle européen des Arts et des Lettres de Paris.
La cérémonie s’est déroulée dans les locaux de la Fondation Léopold Sédar, avec la présence effective de M. Michel Benard, membre du Comité Directeur de la Société des Poètes, de M. Raphaël Ndiaye, Directeur Général de la Fondation L. S. Senghor, par ailleurs, Directeur de Publication de la revue Ethiopiques, le Pr. Bassirou Dieng, Directeur de la Rédaction de la revue, ainsi que d’autres universitaires membres du Comité de rédaction de la revue Ethiopiques
Après le mot de bienvenue qui lui a été adressé par le Directeur Général, M. Michel Benard, en introduction, s’est d’abord réjoui de l’accueil chaleureux qui lui a été réservé à la Fondation Léopold Sédar Senghor. Il a ensuite rappelé la mission de perpétuer la mémoire de Senghor, qui est très omniprésente dans la culture française. M. Benard dira que Senghor est une figure de référence dans le nécessaire rapprochement des cultures et de sa belle vision de l’Europe. « Senghor a été européen de longue date », dira M. Benard pour étayer ses propos, précisant par ailleurs que le Cénacle a été créé sous un autre nom par Léopold Sédar Senghor puis, repris par Charles Carrère, poète éminent, qui en raison de certaines difficultés liées à la gestion, s’est rabattu à la Société des poètes français. Avec Jean-François Dussotier, Président du Cénacle, il a été décidé d’un commun accord de lancer le Prix Senghor des Arts, le Prix Senghor de Poésie, le Prix Michel Ange, le Prix Botticelli, le Prix Aristote, le Prix Virgile, le Prix Dante, le Prix Horace, le Prix Charles Ciccione, le Prix Pétrarque, le Prix Jean-Louis Forain et le Prix des revues francophones qui est le Prix Cassiopée décerné en cette année 2014, à la revue Ethiopiques publiée par la Fondation Léopold Sédar
- Benard a précisé que le jury qui a décerné le Prix Cassiopée est composé d’universitaires français, luxembourgeois, italiens, belges et américains. Il avait retenu en phase finale trois importantes revues, parmi lesquelles la revue Ethiopiques a été distinguée, notamment en raison de son audience internationale et de la pertinence de ses contenus.
- Benard a aussi longuement parlé de Nicolas Alquin, sculpteur qui a reçu le Prix Senghor des Arts du Cénacle européen. Il a fait part du sérieux désir de ce dernier de rendre hommage à Senghor en illustrant le recueil Hosties noires de l’auteur. Nicolas Alquin s’est dit disposé à réaliser une grande sculpture sur bois de Senghor, et à l’offrir à la Fondation. Pour la réalisation de ce projet, M. Benard souhaiterait la collaboration de la Fondation Senghor et du Ministère de la Culture.
A la suite de ses propos, M. Benard a procédé à la remise effective du Prix Cassiopée à la revue Ethiopiques. Le Directeur Général a prié le Pr. Bassirou Dieng, en sa qualité de Directeur de la Rédaction, de recevoir le diplôme. M. Benard lui-même a appelé M. Raphaël Ndiaye pour lui remettre la médaille. Les deux présents ont été reçus sous les applaudissements nourris de l’assistance.
Le Pr. Bassirou Dieng a pris la parole pour remercier vivement M. Benard et à travers lui, le Cénacle européen des Arts et des Lettres. M. Dieng a évoqué l’esprit senghorien d’ouverture et d’enracinement pour qualifier l’excellent travail effectué depuis 10 ans qui aujourd’hui, a conduit à ces résultats. Le Pr. Dieng fera observer que la revue Ethiopiques est actuellement sollicitée par des lusophones, des anglophones, des hispanophones, des germanophones et des arabophones. Selon M. Dieng, la revue Ethiopiques dépasserait même en audience la revue Présence Africaine.
Le Pr. Babacar Mbaye Diop, membre du Comité de rédaction de la revue Ethiopiques et par ailleurs Directeur de la Biennale des Arts de Dakar, a exprimé sa fierté quant au fait que la distinction soit attribuée par des collègues universitaires.
En sa qualité de membre du Comité de rédaction, le Pr. Boubé Namaïwa a fait remarquer 3 facteurs essentiels, caractérisant la revue Ethiopiques ; à savoir : 1- sa gratuité qui permet de la télécharger à partir du site Internet qui lui est consacré, ses exigences académiques dont le respect ouvre des opportunités d’avancement en grades des enseignants du supérieur, 2- la rapidité de publication des articles soumis et 3- la régularité de sa parution, tous facteurs fort utiles dans le cadre du CAMES (Conseil africain et malgache pour l’Enseignement supérieur).
S’agissant du projet du sculpteur Nicolas Alquin, Le DG de la FLSS a donné son accord de principe en attendant de consulter les documents y afférents.
Au nom du PCA M. Basile Senghor, de l’ensemble du Conseil d’Administration et du Comité de rédaction de la revue Ethiopiques, le Directeur Général M. Raphaël Ndiaye a particulièrement remercié le Cénacle européen des arts et des lettres. Le Directeur de Publication de la revue Ethiopiques s’est souvenu de la visite de M. Benard en juillet 2013, qui selon lui, s’est traduite en amitié et en échanges fructueux. D’après le DG, cette cérémonie n’est qu’un prélude. Une large communication sera effectuée sur le Prix Cassiopée à l’occasion du prochain Sommet de la Francophonie, prévu les 29 et 30 novembre 2014 à Dakar.
Pour conclure, le DG de la FLSS a rappelé les véritables raisons qui ont conduit le Président Senghor à créer la revue Ethiopiques. Paraphrasant Senghor, il a dit en substance : « La Civilisation noire n’est qu’un aspect de la Civilisation de l’Universel que toutes les ethnies doivent bâtir, ou périr ensemble, celle-ci ne serait pas intégrale, elle ne serait pas humaine s’il y manquait un seul aspect de la condition humaine. C’est à bâtir cette civilisation pan-humaine que travaillera ETHIOPIQUES. Comme un ouvrier de la « onzième heure ».
Ayant commencé à 15h 30, la séance a pris fin à 16h 10 par des photos individuelles et une photo de famille.
Etaient présents :
- Raphaël Ndiaye
- Michel Benard
- Bassirou Dieng, Directeur de la Rédaction
- Babacar Mbaye Diop (Philosophie et Art, Directeur de la Biennale de l’Art contemporain)
- Boubé Namaiwa (Philosophie)
- Mamadou Ba (Lettres modernes)
- Ibrahima Wane (Lettres modernes et musique)
- Boubacar Demba Cissokho (Agence de Presse Sénégalaise)
- Mme Hélène Diédhiou, Secrétaire Direction de la Fondation Senghor
- Doudou Joseph Ndiaye. Documentaliste Fondation Senghor
Fait à Dakar le 18 juillet 2014
Doudou Joseph Ndiaye
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M. Raphaël Ndiaye à Kent University (USA), le 24 octobre 2013
Baobabs de Dakar et de Gorée : le chemin des baobabs…
Le baobab est un arbre ‘’sacré’’ du Sénégal : il a été choisi, avec le lion, pour illustrer les symboles de la République, au lendemain de l’indépendance du Sénégal en 1960. L’urbanisation accélérée de la ville de Dakar entraîne souvent la disparition de cet arbre aux mille vertus (médicinales, cosmétiques, alimentaires, magiques voire mystiques, etc..) Protéger notre environnement et le sauvegarder, c’est aussi accorder une place, moins que secondaire, à la nature et aux êtres qui la peuplent, d’où qu’ils viennent … Plusieurs arbres existent dans la ville de Dakar et chaque espèce recensée participe, comme nous l’avons appris, à la photosynthèse, source de vie sur terre. Il aurait été intéressant de procéder, lors du premier recensement post-indépendance, à un dénombrement des baobabs, entre autre arbres, qui participent à l’équilibre écologique. Un tel recensement aurait certainement permis de mesurer les effets de l’action anthropique destructrice : le baobab – Adansonia Digitata- est-il une espèce menacée à terme au Sénégal et particulièrement dans la ville de Dakar ?
La convergence récente de plusieurs initiatives a rendu possible un rassemblement plus que citoyen, autour du ‘’baobab sacré’’ : des hommes et des femmes des villes de Dakar et de Gorée se sont levés et ont décidé de contribuer, à leur façon, à la sauvegarde et à la préservation de ce patrimoine écologique ancestral.
Une association dénommée ‘’les Amis du Baobab’’ sera créée à Dakar le 22 mars 2014 à l’Université Cheikh Anta Diop.
L’Association ‘’les Amis du Baobab’’ portera le projet ‘’Baobabs de Dakar et de Gorée’’ dont les composantes principales seront :
la création d’un circuit culturel et touristique, ‘’Baobabs de Dakar et de Gorée’’ : 24 baobabs seront choisis par un comité ad hoc (24 comme 24 heures dans un jour, c’est le temps du baobab…)
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l’hymne du baobab sera écrit, à la suite d’un concours organisé par le comité ad hoc qui sera ouvert aux étudiants et aux lycéens et collégiens des classes de première et terminale (Dakar et Gorée)
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l’hymne du baobab sera composé par l’Orchestre National ou l’Orchestre ‘’le Baobab de Dakar’’ ;
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des conférences ‘’sous le baobab’’ seront organisées à l’UCAD autour du ‘’baobab du savoir’’ (fréquence à définir)
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un concours gastronomique sera organisé chaque année à Dakar dont le thème culinaire sera le baobab ;
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une ‘’fête du baobab’’ sera organisée chaque année, alternativement au Village des Arts de Dakar et à Gorée ;
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un trophée ‘’le baobab fou’’ sera remis chaque année à un écrivain ou à un artiste qui aura célébré le baobab : le trophée sera remis chaque année par l’écrivain Ken Bugul auteure du roman intitulé ‘’le baobab fou’’ (sous réserve d’acceptation de l’écrivain Ken Bugul)
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un film documentaire de qualité supérieure sera réalisé sur le ‘’baobab’’ ;
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un récital de poésie sera donné chaque année à la ‘’Maison du Baobab’’ (lieu à créer, par exemple dans l’enceinte du Village des Arts)
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un nom sera donné à chaque baobab sélectionné (exemple : le ‘’baobab du savoir’’ à l’UCAD) sous réserve de la validation des ‘’esprits protecteurs’’ ou de leurs représentants connus et reconnus sur terre…
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un plan lumière sera élaboré pour les 24 baobabs sélectionnés sous réserve de la validation des ‘’esprits protecteurs’’ ou de leurs représentants connus et reconnus sur terre.. (des périodes d’illumination seront choisies dans l’année car il est exclu que l’illumination soit réalisée de manière permanente : il ne faut pas déranger les esprits qui habitent les arbres sacrés..)
il faut rappeler qu’il existe à Gorée un alignement de baobabs unique au monde (dixit André Terrisse) sur le chemin du Castel.
Les treize autres régions du Sénégal pourraient également créer des manifestations touristiques et culturelles autour du baobab et créer chacune un ‘’Circuit Baobab’’ (CB1, CB2, CB3……CB14 : le CB1 sera celui de la région de Dakar)
Il reste entendu, pour mille et une raisons qui tiennent à notre histoire et à notre patrimoine ancestral, que le projet ‘’Baobabs de Dakar et de Gorée…’’ sera entièrement placé sous l’autorité des génies protecteurs de Dakar et de Gorée…
Jean Michel SECK
Dakar le 22/1/14
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Prix européen illustrateur/dessinateur
Jean-Louis Forain
Jean-Louis FORAIN
Prix européen illustrateur/dessinateur
Jean-Louis Forain 2014
Anne Lan
( http://www.anne-lan.com)
Anne-Lan est eurasienne. Née en Corrèze, ses parents étaient médecins de campagne à Perpezac-le-Blanc et elle a gardé un profond attachement à ses racines. Elle vit à Paris mais vient souvent à Brive où elle a son atelier d'été. Dès 1978 une carrière artistique rapide et variée l'a amenée à exposer en groupe dans les grands salons parisiens et étrangers. Puis à titre personnel dans des lieux de prestigeen province, aux Musées de Brive, Tulle ou Biarritz, ainsi qu'au "Musée de l'Histoire de la Ville de Shanghai ", en Chine en 1997, ou dans des villes aussi différentes que Venise ou Libreville. Spécialiste de la peinture sur soie, invitée comme "peintre par excellence" au premier Congrès mondial de peinture sur soie à Washington, elle peint de grandes œuvres délicates et raffinées sur des thèmes de mythologie ou de poésie. Elle les expose en général à travers des manifestations culturelles dans des lieux de prestige : Plusieurs grandes Mairies de Paris (4éme, 16éme, 9éme), le Ministère des Finances de Bercy, des Musées, des châteaux…
Dès 1988, elle a mêlé différentes formes d'Art à ses tableaux : poésie, musique, danse, théâtre. En 2001, elle a introduit les Sciences lorsqu'elle a célébré à Paris puis à Brive, l'entrée dans le IIIème millénaire avec "Apollon et les Muses" : Vingt-huit événements artistiques ou scientifiques autour de ses œuvres ont conquis l'approbation du public. Cette manifestation parrainée par l'Unesco s'est avérée si positive, qu'elle a décidé, avec l'aide et l'appui de l'association Récréasciences CCSTI Limousin, d'étendre cette initiative à toute la Région du Limousin.
Regard sur ANNE-LAN…
« Le rêve est toujours ouverture sur un ailleurs. Mais l’imaginaire pour ANNE-LAN n’est pas évasion ou illusion, bien plutôt, dans sa puissance poétique, il accomplit la volonté tendue de donner expression à un désir, de conserver et de créer une réalité qu’elle accepte. Et, si sa peinture se nourrit des contes et des mythes, c’est dans la fidélité à ses racines, à l’enfance merveilleuse et dans l’aspiration à faire naître aujourd’hui un monde où l’on pourrait vivre. La peinture, cette mise en scène personnelle, intime, du rapport créatif à la forme et à la couleur, s’est inscrite pour ANNE-LAN dans une rencontre avec un matériau spécifique, ses qualités et ses exigences particulières : dans l’écho de la tradition orientale portée par ses origines, elle a trouvé dans la soie le support qui lui permet d’allier la finesse à la rigueur, la sensibilité extrême et la précision, le déploiement de l’imaginaire et l’attachement au réel. Les contraintes imposées par la soie qu’elle domine en s’y soumettant font naître son dessin souple et structuré, sa composition exactement construite et librement développée, ses couleurs raffinées et harmonieuses. Le passé mythologique, ainsi transformé, recréé, devient porteur d’avenir » (Texte de J.Paul GADEMER)
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belle naissance du Cénacle européen francophone de poésie, art et lettres
sous les lambris dorés de
l'ambassade de Roumanie à Paris en l'an 2000
dans cette ambassade où Paul Valéry fut le bibliothécaire
avec la présence de nombreuses personnalités,
des ambassadeurs et autres représentants de la poésie
des arts et des belles lettres
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Ce prix a été créé en 2014, il récompense une revue de langue française
ouverte à la poésie, l'art et la littérature
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Éthiopiques : en forgeant ce néologisme pour en faire le titre du recueil de poèmes de sa maturité, publié en 1956, le Sénégalais Léopold Sédar Senghor mettait en œuvre le métissage culturel dont il a si souvent fait l'apologie. Le mot « éthiopique » a manifestement une origine grecque : il est formé sur le mot aithiops, dont le sens littéral est « face brûlée, noir ». Son emploi en adjectif substantivé au pluriel évoque les Éthiopiques, le roman d'Héliodore (iie ou iiie siècle apr. J.-C.), tout comme il rappelle les titres que la tradition attribue aux recueils des odes (Olympiques, Isthmiques...) dans lesquelles Pindare célébrait les vainqueurs des jeux gymniques. Éthiopiques renvoie donc à l'héritage classique que l'agrégé-poète a toujours célébré. Mais par son sémantisme, ce titre met en avant la couleur noire, la « négritude », que les recueils antérieurs (Chants d'ombre, 1945 ; Hosties noires, 1948) avaient déjà glorifiée. Éthiopiques se situe au point de rencontre de l'Afrique et de l'Europe.
Le nom de la revue constitue une référence aux poèmes de Senghor, Éthiopiques, publiés en 1974. Le poète s'est expliqué sur ses objectifs dans l'éditorial du premier numéro
D'abord sous-titré « Revue socialiste de culture négro-africaine », le périodique a adopté par la suite une nouvelle définition, « Revue négro-africaine de littérature et de philosophie ».
Quoique édité à Dakar, le titre se veut panafricain.
Le premier numéro est sorti en janvier 1975. Trimestrielle de 1975 à 1988, la parution de la revue est devenue semestrielle en 1989. Senghor en était le rédacteur en chef et l'un des principaux collaborateurs.
La totalité des articles sont désormais consultables en ligne. Actuellement (2007), le Directeur de la publication est Basile Senghor et le Directeur de la rédaction est A. Raphaêl NDIAYE
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bonjour
cette année 2014 fut encore une belle réussite grâce à l'excellent travail
de notre équipe de Conseillers, grand merci à eux,
de plus cette année, la télévision de Brazaville (Congo) nous fit l'honneur de venir filmer
notre remise de Prix pour notre lauréat du Prix Léopold Senghor de poésie
année 2014, un excellent cru !
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PRIX EUROPÉEN FRANCOPHONE DE
POÉSIE
LÉOPOLD SÉDAR SENGHOR
2017
MARIE ÉTIENNE
Marie Etienne a passé les 25 premières années de sa vie au Vietnam, en Côte d'Ivoire, en Allemagne, au Sénégal. Après avoir enseigné dans un lycée de Sologne, elle a travaillé dix ans avec Antoine Vitez, d¹abord au Théâtre des Quartiers d'Ivry, puis au Théâtre national de Chaillot, comme Secrétaire général, corollaire littéraire de l'Administrateur. A ce titre, elle avait la charge des Images et des Mots que produisait le théâtre, ainsi que des lectures de poésie. Elle est ensuite passée par l'édition de livres et de revues, dans le cadre de l'Education nationale.
Rédactrice à La Quinzaine littéraire, de 1985 à 2015, elle fait actuellement partie de l’équipe du journal en ligne En attendant Nadeau, créé en janvier 2016 par les anciens collaborateurs de Maurice Nadeau, et s'attache désormais à écrire les nombreux livres dont elle a le projet.
A la multiplicité des lieux de vies et des activités professionnelles, correspondent, presque naturellement, la variété des sujets abordés et des genres .
Si Marie Etienne a vécu dans différents continents, travaillé, outre celui de l'enseignement et de l'édition, dans l'univers du théâtre et de la critique littéraire, elle a également souhaité s'exprimer en poète de son temps (sans oublier la beauté et l'efficacité des formes du passé), et en prosatrice attachée à témoigner et à préserver la mémoire de ce et ceux qu'elle a connus.Bibliographie :
Poésies :
– La Longe, Paris : Temps actuels, « La Petite Sirène », 1981
– Lettres d'Idumée, précédées de Péage, Paris : Seghers, « Poésie 82 », 1982
– Le Sang du guetteur, Arles : Actes sud, 1985 Katana, dessins de Sandra Monciardini, Paris : Scandéditions, « lumière ouverte », 1993 [Traduction en cours de Anne Talvaz]
– Anatolie, Paris : Flammarion, « Poésie », 1997, Prix Mallarmé
– Roi des cent cavaliers, Flammarion, « Poésie », 2002 / King of a Hundred Horsemen, traduction de Marilyn Hacker (Robert Fagles Prize for translation),
– New York : Farrar, Straus & Giroux, 2008
– Dormans, Flammarion, « Poésie », 2006
– Haute Lice, Corti, 2011, Prix Paul Verlaine de l’Académie française.
– Le Livre des Recels, Flammarion, « Poésie », 2011 - Prix Paul Verlaine de l’Académie française.
– Cheval d’octobre, Saint-Benoît-du-Sault, Tarabuste, 2015Anthologies :
– Poésies des lointains, Arles : Actes sud, 1995
– Cent ans passent comme un jour, 56 poètes pour Aragon, Creil : Dumerchez, 1997Prose :
– Éloge de la rupture, pointe sèche de Christian Rosset, Plombières-lès-Dijon: Ulysse fin de siècle / Virgile, 1991
– La Face et le lointain, Moulins : Ipomée, « Tadorne », 1986
– Les Passants intérieurs, Plombières-lès-Dijon : Virgile, 2004
– Les Soupirants, Plombières-lès-Dijon : Virgile, 2005
– Haute Lice, Paris : José Corti, 2011Récits, Chroniques :
– Clémence, Paris : Balland, 1999
– Antoine Vitez, le roman du théâtre, 1978-1982, Paris : Balland, 2000
– L'Inconnue de la Loire, Paris : La Table ronde, 2004
– L'Enfant et le Soldat, Paris : La Table ronde, 2006 (nouvelle version de Sensò, la guerre, paru chez Balland en 2002) [Traduction en cours de Dawn M. Cornelio]
– Les Yeux fermés (Les Variations Bergman), Paris : José Corti, « En lisant en écrivant », 2011
Nombreuses publications dans des anthologies et des revues en France, à l'étranger : Allemagne, Argentine, Australie, Canada, Etats-Unis, Italie, Japon, Liban, Nouvelle-Zélande, Pérou, Russie, Vietnam, Yougoslavie...
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NOS LAURÉATS A L'HONNEUR :
Bruno ALTMAYER
Prix Léopold Senghor des ARTS 2015
FRÉDÉRIC VOISIN
Prix Botticelli 2016
SALVATORE GUCCIARDO
Prix Sédar Senghor des arts 2006
HANS VLEUGELS
Prix Botticelli 2009
expose lors des Journées du Patrimoine à Reims
exposition du 17 au 22 septembre 2015
salle Suzanne Tourte (Cormontreuil)
SALVATORE GUCCIARDO
Prix Botticelli 2006
l'Académie Internationale d'Italie Arte 74 en collaboration
avec l'UNICEF et l'ONU, lui a décerné
le Prix "Artiste pour la Paix".
PAVLINA
(exposition en SUISSE et Paris)
PRIX Botticelli 2010
Nos lauréats à l'honneur :
(CHINE)
LILYA PAVLOVIC (Serbie)
PRIX BOTTICELLI 2007
pour son Livre d'ART : "Marco Polo"
EXPOSITION EN CHINE :
LILYA Pavlovic Dear (Prix Botticelli 2007)
participates with 11 large size paintings in the first Silk Road International Art Exhibition hosted by the Ministry of Culture of China and the Shaanxi Museum of Art opening 24 September 2014 10:00 AM in the city of Xi'an. XI 'an is the oldest city in China, 3000years, and the point of departure of The Silk Road
participe avec 11 tableaux de grand format dans la première Exposition Internationale de la Route de la Soie organisée par le Ministère de la Culture de la Chine, et le Musée d'Art de ShaanxiEXPOSITION A VENISE 2015 :
LILYA Pavlovic Dear (Prix Botticelli 2007)
FONDAZIONE QUERINI STAMPALIA VENEZIA 2015
Nos lauréats à l'honneur :
(Belgique)
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SALVATORE GUCCIARDO (Belgique)
PRIX BOTTICELLI 2008
pour son Livre d'ART : "Traces de l'Art"
EXPOSITION EN BELGIQUE :
son exposition à Charleroi
récompense en Angleterre :
Prix Jean-Louis FORAIN 2015
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PRIX EUROPÉEN FRANCOPHONE de traduction
OVIDE 2017(auteur étranger traduit en français)
Ovide (Publius Ovidius Naso), naquit à Sulmone, dans l'Abruzze citérieure, le 13 des calendes d'avril, ou le 20 mars de l'an 711 de Rome, 45 ans avant l'ère chrétienne. Le surnom de Naso qu'il hérita de sa famille avait, dit-on, été donné à un de ses aïeux, à cause de la proéminence de son nez, comme celui de Cirero, illustré par le grand orateur de ce nom, lui était venu de l'un de ses pères, remarquable aussi par une petite excroissance placée à l'extrémité du nez, et ressemblant à un pois chiche. Ovide fut élevé à Rome et y fréquenta les écoles des maîtres les plus célèbres, avec son frère Lucius, plus âgé que lui d'une année, et qui mourut à vingt ans. Un penchant irrésistible entraînait Ovide vers la poésie ; il consentit toutefois à étudier pour le barreau, pour obéir à l'expresse volonté de son père, qui appelait les vers une occupation stérile et Homère un indigent. Il promit de renoncer à la poésie, qui était déjà comme sa langue naturelle, et de n'écrire désormais qu'en prose ; il l'essaya : "Mais les mots, nous dit-il, venaient d'eux-mêmes se plier à la mesure et faisaient des vers de tout ce que j'écrivais." Une si impérieuse vocation, au lieu de désarmer son père, ne fit que l'irriter davantage ; et l'on prétend qu'il ne s'en tint pas toujours aux remontrances ; mais, poète en dépit de lui-même, Ovide, tandis qu'on le châtiait, demandait grâce dans la langue des muses, et c'était en vers qu'il s'engageait n'en plus faire.
ROCIO DURÁN BARBA
Juriste, journaliste, ambassadrice, poète, romancière, essayiste, artiste-peintre.
Née à Quito, en Équateur, Rocío Durán‑Barba se passionne très tôt pour les lettres, notamment la lecture, la poésie et la peinture. Elle décide dans un premier temps, de poursuivre des études universitaires dans le domaine du droit, et obtient auprès de l’Université Catholique de lÉquateur, une licence en Sciences Politiques et Sociales, un Doctorat en Droit, ainsi que son diplôme d’avocat.
À l’étranger elle poursuit des études d’art auprès de la Finishing School Colorado Womens College à Denver aux États Unis, obtient un post‑doctorat en Sciences Internationales à l’Université de Vienne en Autriche où elle suit également des cours auprès de l’École Diplomatique et un Doctorat en Droit International auprès de l’Université de la Sorbonne à Paris.
C’est à Paris qu’elle rencontre son mari et décide de s’installer. Depuis 1994 elle partage sa vie entre Paris, Genève et Quito. Elle possède les nationalités équatorienne et française.
Carrière professionnelle :
Après avoir été professeur à l’Université Catholique de Quito, consultante auprès du Département Légal de l’Unesco et Attachée Culturelle de l’Ambassade de l’Équateur auprès de l’Unesco, Rocío Durán‑Barba décide de se consacrer à sa grande passion : la culture.
‑Elle réalise à Paris plusieurs reportages vidéo pour la télévision équatorienne.
‑Elle écrit plus de 700 chroniques d’opinion pour le quotidien équatorien El Comercio (Quito) et le réseau Diarios de América.
‑Elle rédige des articles pour plusieurs revues : Correos del Arte (Madrid), Arte Hispano (Madrid), Libros Abiertos (Paris), Espacios Latinos (Lyon), Letras del Ecuador (Quito), Podium (Guayaquil), Iecaim (Quito), Revista del Servicio Exterior Ecuatoriano Afese (Quito)
‑Elle publie aussi des interviews exclusives avec le Président François Mitterrand, l’artiste Michael Jackson et le célèbre peintre colombien Luis Caballero.
Rocío Durán‑Barba a été membre du Cercle de la Presse Française, du Cercle de la Presse de l’Equateur et de El Comercio . Elle est membre du groupe de la Presse à Genève.
Équatorienne et française, elle vit et travaille entre Paris, Genève et l’Équateur. Ses chroniques ont été publiées dans des journaux et des revues en Amérique Latine et en Europe. Elle a interviewé de nombreuses personnalités dont le Président François Mitterrand et a réalisé des documentaires pour la télévision. Elle a exposée son oeuvre artistique en Équateur, aux États-Unis et en France. L’une des plumes les plus remarquables dans l’univers actuel de la littérature latino-américaine (Claude Couffon). Elle est l’auteur de plus de quarante livres, qui ont obtenu de nombreuses distinctions et dont la plupart ont été traduits en français, certains en anglais, en arabe et en kabyle. Membre de plusieurs groupes de presse, de poésie et de salons littéraires, elle a participé à de multiples réunions et à des festivals internationaux où elle a présenté son oeuvre littéraire ainsi que des récitals poétiques musicaux autour de thèmes qui lui sont chers : l’identité, la recherche des racines historiques, les principes et les traditions des peuples, les valeurs culturelles, les profondes vérités du monde, de la vie
Elle dirige une Fondation Culturelle (Équateur) et l’association Lettres en vol (Paris) Rocío Durán-Barba est Ambassadrice Universelle de la Culture, nommée par l’État de la Bolivie et l’Unesco en 2015.
Parutions traduites en français et en autres langues étrangères :
Romans :
Ici ou nulle part, Indigo, 2003, traduit en français par Claude Couffon.
Poésie :
Paris, poème bleu, Porte des poètes, 2005, traduit en français par Claude Couffon.
Un voyage et rien dautre, El Conejo, 2006, traduit en français par Claude Couffon.
Née dans un cratère, El Conejo, 2007, traduit en français par les ateliers de traduction de la Maison Internationale des Poètes et des Écrivains de Saint Malo et par Claude Couffon.
Quest-ce que le sacré ? Allpamanda, 2008, traduit en français par Claude Couffon,
traduit en anglais par Francesca Piana, traduit en arabe par Ahcene Mariche,
traduit en kabile par Idir Bellali.
Hymne à léternel printemps, Caractères, 2010, traduit en français par Nathalie Lalisse-Delcourt.
Le verbe du désert, Allpamanda, 2011, traduit en français par Nathalie Lalisse-Delcourt,
traduit en arabe par Ahcene Mariche, traduit en kabile par Idir Bellali.
Délires dété, Allpamanda, 2013, traduit en français par Nathalie Lalisse-Delcourt.
Entre le Sahara et les Andes, Allpamanda, 2013, traduit en français par Nathalie Lalisse-Delcourt.
Les légendes de Cantuña, Allpamanda, 2016, traduit en français par les ateliers de traduction de la Maison Internationale des Poètes et des Écrivains de Saint Malo.
Livres d’art :
Le verbe du désert, tirage numéroté, 2011, traduit en français par Nathalie Lalisse-Delcourt.
L’univers de l’art équatorien, tirage numéroté, 2012, traduit en français par Martine Guichard.
Essais :
L’autre Pablo Neruda, Báez-Oquendo, 2004, traduit en français par Claude Couffon.
J’ai quelque chose à dire... 1968-2008, Allpamanda, 2008, traduit en français par Annie Cueva et Estelle Murray.
L’univers de l’art équatorien, Allpamanda, 2012, traduit en français par Martine Guichard.
Mini-contes d’écrivains de l’Équateur, Allpamanda, 2014, traduit en français par les ateliers de traduction de la Maison Internationale des Poètes et des Écrivains de Saint Malo.
Ouvrage(s) proposés; trois ouvrages parus en 2016:
Équateur (roman, écrit directement en français),
Regards croisés (peintres équatoriens et poètes français),
Une voix me le dit (poésie).
Carrière professionnelle :
Après avoir été professeur à l’Université Catholique de Quito, consultante auprès du Département Légal de l’Unesco et Attachée Culturelle de l’Ambassade de l’Équateur auprès de l’Unesco, Rocío Durán‑Barba décide de se consacrer à sa grande passion : la culture.
‑Elle réalise à Paris plusieurs reportages vidéo pour la télévision équatorienne.
‑Elle écrit plus de 700 chroniques d’opinion pour le quotidien équatorien El Comercio (Quito) et le réseau Diarios de América.
‑Elle rédige des articles pour plusieurs revues : Correos del Arte (Madrid), Arte Hispano (Madrid), Libros Abiertos (Paris), Espacios Latinos (Lyon), Letras del Ecuador (Quito), Podium (Guayaquil), Iecaim (Quito), Revista del Servicio Exterior Ecuatoriano Afese (Quito)
‑Elle publie aussi des interviews exclusives avec le Président François Mitterrand, l’artiste Michael Jackson et le célèbre peintre colombien Luis Caballero.
Rocío Durán‑Barba a été membre du Cercle de la Presse Française, du Cercle de la Presse de l’Equateur et de El Comercio . Elle est membre du groupe de la Presse à Genève.
Distinctions et prix :
Femme de l’année 2013 avec distinction spéciale , (Équateur).
La Médaille Manuela Sáenz, Libertadora del Libertador, en el GradoInternacional de Primera Clase , la plus haute distinction décernée par l’Académie Bolivarienne d’Amérique qui l’a aussi nommée membre académique .
La Médaille de la Haute Assemblée 2014, décernée par le Sénat Français.
La Médaille de Vermeil , décernée par la Société Académique Arts-Sciences-Lettres de Paris.
La Pomme d’or de la Red de Poetas de Buenos Aires, Argentine
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Prix européen de la Traduction
(du français vers une autre langue ou d'une autre langue vers le français)
PRIX HORACE 2017
Horace (en latin Quintus Horatius Flaccus), né à Venosa dans le sud de l'Italie le 8 décembre 65 av. J.-C. et mort àTivoli le 27 novembre 8 av. J.-C., compte parmi les plus illustres poètes de tous les temps. Mais son œuvre, à double niveau d’écriture, fait aisément l’objet de malentendus et de contresens, comme en témoigne par exemple le détournement de la fameuse devise Carpe diem, ou de la non moins célèbre formule Aurea mediocritas (« juste milieu précieux comme l'or »), tirées respectivement des Odes, I, 11 et II, 10.
"Avoir plu aux puissants n'est pas le plus haut mérite"
"Les peintres et les poètes ont toujours eu le droit de tout oser"
"Il en est tout un juste milieu..."JAVIER DEL PRADO BIEZMAN
Docteur en philologie. Professeur à l'Université. Maintenant professeur émérite
Université Complutense de Madrid
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Docteur Honoris Causa par l'Université Michel de Montaigne. Bordeaux. France).
Médaille d'or de l'Université Complutense.
Professeur honoraire à l'Université Autonome de MadridProfesseur de Langue et Littératures françaises, Université Complutense de Madrid
Parutions : Langue, Littérature, Création, Poésie, Théorie Littéraire…
Ouvrage(s) proposés :Léopold Sédar Senghor, Obra poética. Introducción de Lourdes Carriedo. Traducción y notas de Javier del Prado. Madrid, Cátedra, 1999, 489 pp
Poesias completas,
Arthur Rimbaud
Editorial: Cátedra, 1996
ISBN 10: 8437614651 / ISBN 13: 9788437614656.
Poesía Completa
Charles Baudelaire
Edición bilingöe. Traducción de Javier del Prado y José A. Millán Alba. Espasa, Madrid, 2000. 1.527 páginas, 8.500 pesetas
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PRIX EUROPÉEN FRANCOPHONE
CHARLES CARRÈRE 2017
(pour un auteur ou poète d'Afrique noire)ancien secrétaire de Léopold Sédar Senghor et ami
BARNABÉ LAYE
Barnabé Laye est né le 11 Juin 1941 à Porto-Novo au Bénin. Études secondaires au Collège Père Aupiais à Cotonou. Études universitaires aux Facultés de Médecine de Bordeaux et de Paris. Médecin des Hôpitaux à l’Hôpital Pitié-Salpêtrière à Paris. Il mène de front sa double vocation médicale et littéraire : « Je suis médecin de jour et écrivain la nuit. Je pense que les deux font bon ménage. Mais je dois avouer que c’est le médecin qui nourrit l’écrivain, qui l’entretient comme on entretient une danseuse… L’écrivain parfois fait des caprices, il n’est pas content, il rêve du jour où il aura son indépendance afin de pouvoir se consacrer uniquement à sa passion ».
Barnabé Laye parle de la genèse de sa vocation littéraire : « Après avoir lu le roman du Sud-Africain Alan Paton, Pleure, ô pays bien-aimé, j’ai refermé le livre, complètement bouleversé, comme si je venais d’avoir une révélation… Je me suis dit : C’est cela qu’il faut faire, écrire dans une langue simple et dépouillée ; laisser la musique des mots épouser l’ardeur des sentiments ; traduire la fragilité des existences et la détresse au cœur de l’homme…J’avais quinze ans. Peu de temps après, j’ai dit à mon père que je voulais être écrivain. Il m’a répondu, un peu gêné : Mon fils, ce n’est pas un métier pour un Noir, ce n’est pas un métier pour nous. J’ai toujours obéi à mon père que je considère comme un des hommes les plus intelligents que j’ai jamais rencontré… Alors, j’ai choisi de devenir médecin comme mon oncle maternel que mon père admirait et citait en exemple. En lui annonçant mon choix, mon père me dit à l’oreille, comme une confidence : Et puis, ton oncle, lui, il change de voiture tous les deux ans et il est marié à la plus belle femme du pays !avant de s’en aller en riant dans sa barbiche. Par ailleurs, pour des raisons que je ne saurais expliquer, je trouvais que la médecine était un métier très…poétique. »
Aujourd’hui, Barnabé Laye espère avoir conservé l’émerveillement de l’adolescent d’autrefois devant la beauté de la langue quand elle exprime notre désarroi mais aussi l’espérance chevillée au corps et l’irrépressible besoin d’amour, de justice et de vérité. André Maurois disait : « Ce qu’un écrivain peut apporter de nouveau, c’est une certaine façon de regarder la vie ». Le regard de Barnabé Laye, à travers tous ses livres, est un regard plein de compassion et de fraternité.Membre des Associations littéraires :
Société des Gens de Lettres de France (SGDL)
Société Civile des Auteurs Multimédia (SCAM)
Société des Poètes Français (SPF)
P.E.N. Club FrançaisPOÉSIE :
Le crépuscule des métamorphoses, Éditions Acoria, 2014
Par temps de doute et d’immobile silence, Éditions Acoria, 2013
Une si longue attente, Éditions Acoria, 2010
Poèmes à l’Absente, Éditions Acoria, 2010
Requiem pour un pays assassiné, Éditions L’Harmattan, 1999
Requiem for a murdered country (version bilingue Français/Anglais), Éditions L’Harmattan, 2008
Requiem para un pais asesinado (version espagnole), Édicion Libros Del Aire – Fernando Saenz, Madrid, A paraître
Comme un signe dans la nuit, Éditions L’Harmattan, 1986
(Avec le concours du Centre National des Lettres)
Les sentiers de liberté, Éditions Saint-Germain-des-Prés, 1986
Nostalgie des jours qui passent, Silex Éditions, 1981
Prix Émile Nelligan 2010 pour l’ensemble de l’œuvre poétique.
ROMANS :
Une femme dans la lumière de l’aube, Éditions Seghers, 1988
Mulher na luz da aurora (version brésilienne), Editora Movimento, Porto Alegre, Brasil, 2003
Mangalor, Éditions Seghers, 1989
(Grand Prix Littéraire des Hôpitaux de Paris, 1990)
L’adieu au père, Éditions L’Harmattan, 1999
Les champs de canne à sucre, à paraître
ESSAIS :
La cuisine africaine et antillaise. Tout un poème, Éditions Dagan, 2011
Guide de la sagesse africaine, en collaboration avec Liliane Prévost, Éditions L’Harmattan, 1999
La cuisine africaine et antillaise, Éditions Publisud, 1985
OUVRAGES COLLECTIFS :
Dans ta détresse noire, in revue Mouvances.ca, 2011
Foule illusion, in Nous la Multitude, Éditions Le temps des Cerises, 2011
L’enfant de la lagune, in Paris littéraires, 2003
Ce quartier qui est le mien, in Paris littéraires, 2002
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Prix européen du Livre d'ART
BOTTICELLI 2017
De son vrai nom Sandro Di Mariano Filipepi, il fut dans son jeune âge batteur d'or (battigello en italien)
chez les orfèvres, d'où son surnom de "Botticelli".
Peintre Florentin de son état, Sandro Botticelli nous laisse un héritage artistique qui se distingue
par son intense poésie et sa cohérence "musicale", qu'il s'agisse de l'Adoration des Mages
ou encore de la Naissance de Vénus.ce PRIX récompense chaque année un artiste européen
ayant publié un LIVRE d'ART de belle prestance et de belle qualité,
présentant ses oeuvres créées : peinture, sculpture, photo,
les catalogues d'exposition ou catalogue d'oeuvres ne sont pas acceptés
(ce Prix a été créé en l'an 2007)
Prix européen du Livre d'ART
BOTTICELLI 2017
AZIZA EL KADIRI
peintre * poète * sociologue * enseignante
AZIZA EL KADIRI est née à El JADIDA . Etudes secondaires au lycée Lalla AICHA, Baccalauréat économique au lycée Descartes, Elle partit en France entamer ses études où Elle obtint dans un premier temps un D.U.T en Publicité-Marketing.à Besançon. Elle fréquenta la Faculté des Lettres de Besançon où Elle décrocha la licence de Sociologie, puis la Maîtrise et le niveau de D.E.A à l’Université des Sciences Humaines de Strasbourg.
En 1982, de retour au pays, Elle fut affectée en tant que civiliste à l’E.N.S. En 1984, Elle intégra la direction des classes préparatoires du lycée Moulay Youssef. En 1993, Elle obtint du Ministère de l’Education Nationale, son détachement à la Gendarmerie Royale (E.M) en tant que Sociologue, au B.E.P.S ( Bureau d’Etudes Psycho-Sociologiques). Parallèlement, depuis 2004, Elle enseigne la Sociologie au C.I.S.S ( Centre d’Instruction des Services Sociaux) pour la Défense Nationale ( cours de perfectionnement ). 2011 : Peintre et galeriste à ses heures, Elle exposa cette année là, son œuvre intitulée « Pouvoir et Liberté », à NOBL’YS Gallery à Rabat.2013 : PRIX de PEINTURE décerné pat l’ACADEMIE EUROPEENNE DES ARTS de PARIS.
Exposition Internationale de Peinture, Avril 2013. (40 exposants).C’est une peintre poétesse qui ne cesse de développer au fil des années la qualité de ses créations originales. Elle a poursuivi son itinéraire avec beaucoup d’exigence et de passion. Elle consacre tout son temps à l’exercice de l’acte pictural pour interpréter à sa manière les beautés et la luminosité des structures rayonnantes.
Avec son savoir-faire, Lalla Aziza El Kadiri, peintre pétrie de qualités, articule une synergie de talents, arrivant à réaliser de belles merveilles, conçues avec doigté et adresse. Ce qui veut dire qu’on sent une certaine complicité entre la peintre et la toile, pour ne pas dire une communication réciproque…
A travers ses œuvres imprégnées de mille couleurs, avec ses chevaux au galop, la peintre nous donne l’air d’une vraie cavalière qui connait parfaitement les différentes espèces du cheval, sauf le sien, qui reste égaré entre les toiles. N’a-t-on pas dit que le peintre ou la peintre peut voir ce que d’autres n’arrivent pas à percevoir ?
Aziza EL Kadiri démontre une fois de plus de quoi un artiste est capable. Rien n’est laissé au hasard. Elle peint par amour. Elle peint également des vues attrayantes et splendides.
Par le biais de sa palette magique, Aziza exprime la relation étroite bien marquée entre l’homme et le cheval. On voyait des cavaliers avec chevaux et d’autres sans cavaliers illustrés par la splendeur des couleurs. Mieux encore, cette même palette, de touche en touche semble bien dresser ces animaux…
Aziza El Kadiri nous invite à pénétrer dans son monde intérieur. Un univers empreint d’onirisme et de sensation traduisant une indéniable passion pour la poésie, car, dans son parcours, nul doute que ces deux disciplines sont indissociables.
Et le témoignage d’un artiste peintre, en l’occurrence Bertrand Mochon, est riche de tout commentaire : « Sous son pinceau, le trait se veut gracile et précis, lorsqu’il s’agit d’évoquer toute la majesté d’un cheval au galop puis, il se densifie et s’empâte pour donner du corps et du relief à la matière et nous transporter ailleurs, nous laissant libre cours pour interpréter notre propre vision de l’œuvre qui s’offre à nos yeux.
Aziza est une artiste vraie, unique qui n’hésite pas à se jeter avec délectation dans le monde des mots et des couleurs, en essayant sans relâche d’en tirer le meilleur des nuances de teintes et des couleurs. On peut dire que Aziza est entrée dans le monde des artistes par de grandes portes »
Bref, les amoureux de l’art plastique seront conquis par une collection d’œuvres inédites. Aziza y imprime son style, le mode de transmission de son énergie par les couleurs et les symboles en mettant toute son imagination pour réaliser cette magnifique œuvre.Livre d'Art présenté :
Au Maroc, dans le journal officiel "l'Opinion"
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Prix européen de la critique
en poésie ou littérature
ARISTOTE
2017
ARISTOTE
*Aristote (en grec ancien Ἀριστοτέλης / Aristotélês) est un philosophe grec né à Stagire (actuelle Stavros) en Macédoine (d'où le surnom de « Stagirite », Σταγειρίτης),en -384,et décédé à Chalcis, en Eubée, en -322.Sa conception de l'être comme « substance » (ou ontologie) et de la métaphysique comme « science de l'être en tant qu'être » influença l'ensemble de la tradition métaphysique occidentale, d'Alexandre d'Aphrodise à Martin Heidegger en passant par Thomas d'Aquin, et orientale, d'Averroès et Maïmonide à Cordoue jusqu'aux théologiens de Byzance. Véritable encyclopédiste, il s'est beaucoup intéressé aux arts et aux sciences de son époque (physique, biologie, astronomie, politique, poétique,rhétorique, économique et éthique), il en théorisa les principes et récolta empiriquement des faits pour les appuyer. Sa théorie de l'art poétique fit autorité dans l'esthétique classique. Son économique influença Karl Marx, et sa politique Hannah Arendt. Il est également l'inventeur de la logique : il systématisa l'usage des syllogismes et décrivit les rouages des sophismes ou raisonnements fallacieux qui ont l'apparence de la validité.
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BRIGITTE VERGNE-CAIN
Brigitte Vergne Cain a été Professeur d'allemand en classes préparatoires au Lycée Louis-le-Grand entre 1976 et 2013. Elle a dirigé la Collection Bilingue du Livre de Poche/LGF, en collaboration avec Gérard RUDENT.
et
GÉRARD RUDENT
Gérard Rudent a enseigné les lettres classiques en classes préparatoires au Lycée Louis-le-Grand de 1973 à 2004. Il a également été chargé de cours à la Faculté des lettres de Tunis et à Paris III. Il a collaboré à la Revue du XVIIe siècle et a servi comme assistant d’Henri Ronse au Théâtre Oblique entre 1973 et 1980
Brigitte et Gérard travaillent ensemble depuis 1988. Ils ont signé ensemble de nombreuses préfaces, notices, et annotations. Ils ont dirigé la collection bilingue du Livre de Poche entre 1988 et 1999 où ils ont publié 19 volumes.
Spécialité des candidats : critique littéraire, édition, traduction de littérature allemande en français. Brigitte et Gérard travaillent ensemble depuis 1988. Ils ont signé ensemble de nombreuses préfaces, notices, et annotations (Stefan Zweig, Ernst Weiss, Arthur Schnitzler, Franz Kafka).
Publications de traductions avec annotations (liste sélective):
avec D. L. Miermont. Lou ANDREAS-SALOMÉ : Ma vie. Paris: Buchet-Chastel, 1977.
avec Gérard Rudent. Franz KAFKA : La Métamorphose 1988 / Le Verdict et autres nouvelles (Livre de Poche, 1990).
avec Gérard Rudent. Alfred DÖBLIN :L’Assassinat d’une renoncule (Livre de Poche, 1990).
avec Gérard Rudent. Stefan ZWEIG : Amok 1993 / Vingt-Quatre Heures de la vie d’une femme (Livre de Poche, 1993).
avec Gérard Rudent. Stefan ZWEIG : Romans* et Nouvelles*/Théâtre (La Pochothèque, LGF, vol. 1 : 1991 / vol. 2 : 1995.
avec Gérard Rudent. Arthur SCHNITZLER Romans et Nouvelles (La Pochothèque, LGF, vol. 1 : 1994 / vol. 2 : 1996).
avec Gérard Rudent Thérèse (La Pochothque, LGF, 1994).
avec Gérard Rudent. Franz KAFKA : Romans, Nouvelles, Journaux (La Pochothèque, LGF, 2000).
Entre 1986 et 2004 : traduction, avec Gérard Rudent, de l’oeuvre de l’écrivain est-allemand
avec Gérard Rudent. Wolfgang HILBIG : La lettre (Flammarion, 1988).
Wolfgang HILBIG : Les Bonnes Femmes (Gallimard, 1993). :
avec Gérard Rudent. Moi (Gallimard, 1997).
avec Gérard Rudent. Wolfgang HILBIG : Provisoire (Métailié, 2004).
avec Gérard Rudent. Nouvelles préfaces nouvelles et annotations pour le Livre de Poche /LGF : KAFKA ; Le Procès 2001 / Le Château 2001. - SCHNITZLER : La Nouvelle rêvée 2002.
avec Gérard Rudent. Stefan ZWEIG : l’Égaré (Livre de Poche, 2012; édition numérique).
avec Gérard Rudent. Stefan ZWEIG : Le Joueur d’échecs (Livre de Poche, 2013) avec préface et notes.Ouvrage(s) proposés : OTL AICHER: La guerre, faces cachées (Dijon: Ed. Du Murmure, 2017). Traduction, avec avant-propos.
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PRIX EUROPÉEN FRANCOPHONE
oeuvre d'un poète ou auteur confirmé
VIRGILE 2017
Fugit irreparable tempus
(le temps fuit irréparable)
VIRGILE
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Ce Prix récompense un poète ou écrivain européen francophone
dont les écrits sont reconnus en Europe
Prix honorifique qui repose sur l'ensemble d'une oeuvre
et l'engagement d'une vie pour la poésie et la littérature de langue française
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Poète latin, auteur de l'Énéide, récit épique considéré comme un chef-d'oeuvre de la littérature mondiale, qui eut une influence considérable sur les écrivains européens.Ayant acquis l'immortalité littéraire grâce à l'Énéide, Virgile va influencer nombre d'écrivains du moyen-âge, de la renaissance (tel Ronsard, qui rédige la franciade inachevé dans la volonté de donner un équivalent français à l'Énéide) et de l'époque moderne. En littérature, Virgile deviendra également un personnage de roman, notamment dans La Mort de Virgile de l'auteur allemand Hermann Broch, qui relate les derniers jours de l'écrivain latin.***********************************************************************************************************************
CLAUDINE BERTRAND
Poète, essayiste et pédagogue, née à Montréal, Claudine Bertrand a publié une œuvre importante doublée d’une forte activité éditoriale. Elle a dirigé des anthologies (Instants de vertige – 45 poètes Québec-France et Grandes voix francophones en 2012), des collectifs (Le Québec des poètes et La France des poètes). Elle est l’une des voix les plus actives de sa génération, elle organise des événements culturels, conçoit et anime, chaque semaine, à la radio, l’émission Arts et Lettres.
Pionnière, elle a fondé la revue Arcade consacrée à l’écriture des femmes et l’a dirigée durant 25 ans, œuvrant ainsi à faire connaître la littérature, à la diffuser et à la rendre visible auprès de publics différents, contribuant ainsi à enrichir la culture francophone. Parallèlement à cette activité éditoriale, elle a publié plus d’une trentaine de recueils poétiques et d’ouvrages au Québec et à l’étranger, qui lui ont valu des prix prestigieux dont le Prix International Tristan Tzara (elle est la seule québécoise à avoir reçu cette distinction), Prix Saint-Denys Garneau, Prix de l’Amérique française.
Femme engagée, marquée par la pensée féministe et humaniste, elle est considérée comme l’une des ambassadrices de la poésie à l’étranger. Son écriture voyageuse nous mène sur plusieurs continents, cherchant à s’ancrer dans un univers lumineux.
Claudine Bertrand a étudié à l'Université du Québec à Montréal, où elle obtient une maîtrise en études littéraires. Elle a enseigné le français au Collège de Rosemont de 1973 à 2010.
Elle est l’auteure d’ouvrages poétiques et de livres d’artiste au Québec et à l’étranger, dont Une main contre le délire (finaliste en 1996 au Grand Prix du Festival international de la poésie de Trois-Rivières), L’amoureuse intérieure (Prix de poésie 1998 de la Société des écrivains canadiens), Tomber du jour, Le corps en tête (prix Tristan-Tzara 2001), L’énigme du futur (Prix Saint-Denys Garneau en 2002 livre d'artiste avec la plasticienne française Chantal Legendre). Elle a été lauréate du Prix Femme de mérite 1997 et médaillée d’or du Rayonnement culturel.
Fondatrice de la revue Arcade, elle la dirige de 1981 à 2006. Elle crée le Prix de la relève Arcade (1991). En 1996, la Ville de Montréal souligne la contribution de la revue à l’occasion de son 15e anniversaire en lui décernant le titre de finaliste au Grand Prix du Conseil des Arts de la Communauté urbaine de Montréal. Également en 1996, un colloque tenu à l’Université Paris VIII (Vincennes) souligne la contribution significative aux échanges culturels France-Québec d’Arcade. Elle fonde, à la suite en 2006, la revue en ligne Mouvances.ca [archive].
Depuis les années 1970, elle collabore à plusieurs revues littéraires: Montréal now !, Intervention, La nouvelle barre du jour, Les écrits, Hobo-Québec, Possibles, Rampike, Doc(k)s, Mensuel 25, Moebius, Estuaire, Écritures, Tessera, Bacchanales, et Acte Sud, Jardin d'essai, Pourtours et Travers (France).
Au Québec, son rôle en poésie est central, participant à plusieurs projets, comme La poésie prend le métro, qu’elle codirige durant la première année, et l’organisation de semaines culturelles. Elle est chroniqueuse de poésie à CISM, la radio de l'Université de Montréal, elle a participé à de nombreux colloques et à des lectures publiques, elle a animé des ateliers d'écriture de femmes, puis coanimé la première Nuit au féminin à l'Université du Québec à Montréal (20 avril 1985). Depuis septembre 2010, elle coanime des soirées de lectures de poésie (Vivement posésie!) dans un bar montréalais. Elle fait partie du comité d’administration du PEN Montréal.
Ambassadrice de la poésie québécoise, elle offre à l’étranger de nombreuses lectures, des conférences et des ateliers de poésie. Elle a notamment été correspondante à Paris pour le 1er Congrès des poètes du monde. Elle crée en 1999 la collection internationale de poésie «Vis-à-Vis», aux Éditions Trait d’Union. En 2010, au Bénin, un prix de poésie remis annuellement à la relève est baptisé «Claudine Bertrand».
Claudine Bertrand est membre de l'Union des écrivaines et des écrivains québécois1.PARUTIONS :
Quelques titres :
Fleurs d’orage (Éditions Henry, 2015), Prix International Alexandre Ribot 2016, décerné au Marché de la poésie à Paris.
Au large du Sénégal (Rougier, 2013),
Rouge assoiffée (L’Hexagone, collection Typo, 2011),
Passion Afrique (Rougier, 2009),
Autour de l’obscur (L’Hexagone, 2008),
Ailleurs en soi (Domens, 2006) …RECUEILS DE POÉSIE :
Idole errante, récit poétique, Montréal, Éditions Lèvres Urbaines, 1983.
Memory, scénario poétique, Montréal, la Nouvelle Barre du Jour, 1985.
Fiction-nuit, poésie avec quatre dessins de Monique Dussault, Saint-Lambert, Éditions Le Noroît, 1987.
La Dernière Femme, poésie avec une linogravure de Célyne Fortin, Saint-Lambert, Éditions Le Noroît, 1991 (tirage épuisé) 2e édition bilingue tchèque et française, traduction de Jana Boxberger, Prague, Protis, 2000.
La Passion au féminin, entretiens, coauteur avec Josée Bonneville, Montréal, XYZ Éditeur, 1994.
Une main contre le délire, poésie, avec une illustration de Roch Plante, Montréal/Paris, Le Noroît/Erti éditeur, 1995.
L'Amoureuse intérieure, suivi de La montagne sacrée, poésie, avec quatre originaux de Roland Giguère, Montréal/Paris, Le Noroît/Le Dé Bleu, 1997, * Prix de la Société des Écrivains Canadiens, Prix de la Renaissance française; 2e édition traduite en catalan par Anna Montero, Barcelone, Tandem Edicions, 2002.
Tomber du jour, poésie avec une illustration de Marcelle Ferron, Montréal, Éditions Le Noroît, 1999.
Le Corps en tête, poésie, l’Atelier des Brisants, France, 2001, prix Tristan-Tzara.
Jardin des vertiges, poésie, illustration de Chan Ky-Yut, Montréal, Hexagone, 2002.
Nouvelles épiphanies, poésie, Montréal, Trait d’Union, Autres temps, France, 2003.
Chute de voyelles, poésie, Trait d’Union, Montréal, Autres Temps, France, 2004.
Pierres sauvages, poésie, Édition de l’Harmattan, coll. « Poètes des 5 continents », France, 2005.
Ailleurs en soi, poésie, Éditions Domens, France, 2006.
Autour de l'obscur, poésie, Éditions de l'Hexagone, 2008.
The Last Woman, poésie, Éditions Guernica, 2008. Choix de poèmes publiés de 1991 à 2002, traduits par Antonio D'Alfonso.
Autour de l’obscur, poésie, illustration Anne Slacik, Édition de l’Hexagone, 2008.
Passion Afrique, poésie, illustrations Michel Mousseau, Éditions Rougier, collection «Ficelle», France 2009.
Au large du Sénégal, poésie, illustrations Michel Mousseau, Éditions Rougier, collection "Plis urgents", 2013PRIX ET RÉCOMPENSES :
Finaliste en 1996 pour le Grand prix international de poésie à Trois-Rivières pour Une main contre le délire.
Nominée en 1996 pour le prix du Conseil des Arts de la Communauté urbaine de Montréal.
Prix Femme de mérite en 1997 et médaillée d’or du Rayonnement culturel
Prix de poésie en 1998 de la Société des écrivains canadiens
Médaillée de l’Assemblée nationale française le 21 juin 1999 pour le poème « À 2000 années-lumière d’ici » publié dans l’Anthologie parlementaire de poèmes, préface de Laurent Fabius, Éditions Bartillat, Paris, 1999.
Prix Tristan-Tzara en 2001
Finaliste en 2001 du prix Odyssée pour Le corps en tête en 2001.
Finaliste en 2001 du Grand prix international de poésie à Trois-Rivières pour Le corps en tête.
Prix Saint-Denys Garneau en 2002 avec l'artiste française Chantal Legendre
Lauréate en 2010 du Grand prix de poésie du Salon international des poètes francophones pour l’ensemble de son œuvre.
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PRIX EUROPÉEN FRANCOPHONE
de l'OEUVRE POÉTIQUE
DANTE 2015Dante Alighieri (Durante degli Alighieri) est un poète, un homme politique et un écrivain italien né dans la deuxième quinzaine de mai[1],[2] c. 29 mai 1265 à Florence et mort le 14 septembre 1321 à Ravenne, Italie.
Dante est le premier grand poète de langue italienne
et son livre Divine Comédie est considéré comme l'un des chefs-d'œuvre de la littérature occidentale.
Ce Prix récompense un poète européen francophone
dont les écrits sont reconnus en Europe
Prix honorifique qui repose sur l'ensemble d'une oeuvre
et l'engagement d'une vie pour la poésie de langue française(ce Prix a été créé en 2010)